mercredi 14 septembre 2011 par PME Magazine

Doublement affectée par les crises ivoirienne et libyenne, BSIC continue ses activités en Côte d'Ivoire, tout en maintenant son programme d'investissement initial. Preuve que la banque est solide, car adossée à un groupe au capital de 500 millions d'euros, soit près de 328 milliards de fcfa. Le directeur général tient à rassurer ses clients et partenaires sur les ambitions de BSIC en Côte d'Ivoire.

En plus de la crise ivoirienne qui a affaibli toutes les banques ivoirienne, BSIC doit faire face à la crise libyenne. Comment la crise libyenne vous affecte t- elle?

Merci tout d'abord pour l'opportunité que vous nous offrez de pouvoir nous exprimer sur ce sujet. En effet, la crise en Côte d'Ivoire nous a tous affectés, en ce sens que l'économie du pays tout entier a été touchée. Bon nombre de nos confrères, de nos clients ont été sinistrés (vol, pillage, destruction de site, etc.). Les banques sont de ce fait fortement sollicitées pour la relance économique et la reconstruction du pays. Ajouté à cela, la BSIC-CI appartient à un groupe bancaire panafricain dont la Libye est partie intégrante et dont le siège est basé à Tripoli. En pareil circonstance, nous sommes tous solidaires. Lorsqu'un pays membre est touché, c'est toute la communauté qui en souffre. Nous continuons certes de fonctionner mais cela affecte quelque peu notre institution.

Comment vous organisez-vous pour faire face ?

Afin de garantir la continuité dans le fonctionnement de notre institution, la plupart des départements du Siège ont été délocalisés à Dakar.

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