vendredi 15 mai 2015 par Inside Africa

La sécurité des biens et des personnes est indispensable pour la création des richesse. Aussi, le président Alassane Ouattara qui veut hisser la Côte d'Ivoire au rang des pays émergent, a-t-il initié la réforme du secteur de la sécurité (Rss). Le moins qu'on puisse dire est que ce processus est en marche. Nouvelles unités, redéfinitions des missions L'armée et les forces de sécurité ivoiriennes opèrent leur mue.

Protéger

La plus connue des nouvelles créations est sans contexte le centre de coordination des décisions opérationnelles (Ccdo). Lancé le lundi 11 mars 2013, ses missions sont de lutter contre le grand bandistisme et sécuriser les sites stratégiques. Il est composé déléments issus de la police, de la gendarmerie et de l'armée. Le Ccdo est présent à Abidjan, Yamoussoukro et Bouaké. A terme, il couvrira tout le pays. Les forces spéciales sont, quant à elles, une troupe d'élite de l'armée. Elles sont le recours de la Côte d'Ivoire contre le terrorisme. On peut, aussi, citer la Force de recherche et d'assistance de police (Frap) au nombre des innovations sécuritaires. Cette unité est le fleuron de la police nationale. Elle est spécialisée dans la lutte anti-terroriste et la destruction des batiments ennemis.

Le second tournant pris par l'armé et les forces de sécurité est celui de l'équité du genre. Bien que la constitution consacre l'égalité d'accès aux emplois pour tous les citoyens, les femmes étaient bannies de certains corps d'armée. Sur instruction du présient Ouattara, ce tord vient d'être réparé. Les filles ont pu intégrer l'école militaire préparatoire technique (Empt) en 2013 et la gendarmerie a accueilli ses première femmes en 2015. ... suite de l'article sur Autre presse

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