mercredi 21 fevrier 2018 par Soir Info

48 heures après les violentes manifestations, le samedi 17 février 2018, dans la localité de Bloléquin (550 km à l'ouest d'Abidjan), ayant occasionné la mort d'un gendarme et le pillage des domiciles du préfet et du sous-préfet, ainsi que de la brigade de gendarmerie, l'enquête ouverte est en train de donner des pistes sérieuses sur ce qui se serait passé.

En effet, de sources sécuritaires, des éléments des forces de l'ordre ont été auditionnés à plusieurs reprises. Surtout le militaire des Forces armées de Côte d'Ivoire (Faci) présent au moment des faits. Sa version a varié à plusieurs reprises lors de l'interrogatoire. Finalement, il a été mis aux arrêts, pour nécessité d'enquête, et son arme aurait été saisie pour un contrôle strict. Des soupçons pèsent sur cet élément qui, tantôt soutient s'être assis sur un tronc d'arbre au moment des faits, tantôt, avoir pris la fuite. ... suite de l'article sur Soir Info