jeudi 28 mars 2019 par Regionale Info

Le putsch manqué du 16 septembre 2015 au Burkina-Faso n'a pas encore finit de livrer ses secrets. Alors que le procès se poursuit à Ouagadougou, en vue de situer les responsabilités des acteurs Burkinabé. Des noms des autorités militaires Ivoiriennes et non des moindres sont cités. Ils sont cités pour leur rôle supposé dans la crise qui a secoué le Burkina-Faso en septembre 2015.

Le procès du coup d'état manqué se poursuit toujours. Il continue d'explorer cette semaine encore les ramifications internationales de la tentative de putsch de 2015. Toujours à la barre, Gilbert Diendéré, mis en cause dans des enregistrements téléphoniques.

L'accusation estime que ces écoutes prouvent qu'il a reçu un appui de l'étranger pour organiser le coup d'état. Tout particulièrement de la Côte d'Ivoire.

Après Guillaume Soro la semaine dernière, c'est au tour cette fois des généraux Soumaila Bakayoko et Gaoussou Soumahoro d'être présentés comme des soutiens du général dans sa tentative de putsch. Sa défense continue au contraire de clamer qu'il n'y a eu aucune ingérence étrangère.

Pour le parquet militaire, les conseils des généraux ivoiriens peuvent s'apparenter à une ingérence monstrueuse et inacceptable . ... suite de l'article sur Autre presse

www.225.ci - A propos - Plan du site - Questions / Réponses © 2023