L'opération se poursuit à l'intérieur du pays. Abidjan attend toujours.
Le tribunal présidé par le juge Ekra Frédéric qui siégeait dans la commune de Brobo depuis le 07 octobre dernier, a achevé ses délibérations le 20 du mois en cours. Le président du tribunal et ses deux assesseurs ont reçu au total 490 requêtes. 424 ont été déclarées recevables et 66 ont fait l'objet de rejet.
Pour le juge Ekra FrédériL'opération se poursuit à l'intérieur du pays. Abidjan attend toujours. Le tribunal présidé par le juge Ekra Frédéric qui siégeait dans la commune de Brobo depuis le 07 octobre dernier, a achevé ses délibérations le 20 du mois en cours. Le président du tribunal et ses deux assesseurs ont reçu au total 490 requêtes. 424 ont été déclarées recevables et 66 ont fait l'objet de rejet. Pour le juge Ekra Frédéric, ces rejets s'expliquent d'une part par le fait que certains requérants ont été déjà déclarés à l'état civil. Et d'autre part, par le fait que les autres sont nés hors de la commune de Brobo ou hors du territoire ivoirien. Par ailleurs, il a déploré que toutes les personnes concernées par cette opération surtout les mineurs n'aient pu se présenter devant sa juridiction par la faute de leurs parents qui ont préféré vaquer à d'autres occupations. Toujours, selon le juge Ekra, les audiences foraines ont débuté timidement dans la commune de Brobo parce la population n'avait pas été suffisamment sensibilisée. Fort heureusement, le nombre des requérants a grossi au fur et à mesure que l'opération se déroulait. Le président du tribunal de la commune de Brobo s'est en outre réjoui de ce que la sécurité était de mise. Car en plus de la présence de gardes du corps dont il bénéficiait de jour comme de nuit, ils ont travaillé sous l'?il vigilant des éléments du Centre de commandement intégré (CCI) composé des FDS-CI et des FDS-FN.
Adjé Jean Alexis
Correspondant régional
c, ces rejets s'expliquent d'une part par le fait que certains requérants ont été déjà déclarés à l'état civil. Et d'autre part, par le fait que les autres sont nés hors de la commune de Brobo ou hors du territoire ivoirien. Par ailleurs, il a déploré que toutes les personnes concernées par cette opération surtout les mineurs n'aient pu se présenter devant sa juridiction par la faute de leurs parents qui ont préféré vaquer à d'autres occupations. Toujours, selon le juge Ekra, les audiences foraines ont débuté timidement dans la commune de Brobo parce la population n'avait pas été suffisamment sensibilisée. Fort heureusement, le nombre des requérants a grossi au fur et à mesure que l'opération se déroulait. Le président du tribunal de la commune de Brobo s'est en outre réjoui de ce que la sécurité était de mise. Car en plus de la présence de gardes du corps dont il bénéficiait de jour comme de nuit, ils ont travaillé sous l'?il vigilant des éléments du Centre de commandement intégré (CCI) composé des FDS-CI et des FDS-FN.
Adjé Jean Alexis
Correspondant régional