mercredi 19 mars 2008 par Le Patriote

En Côte d'Ivoire, la route est le moyen de déplacement le plus prisé. L'ayant compris très tôt, les autorités d'alors ont doté le pays du plus important réseau routier de l'Afrique de l'Ouest. Mais l'usure du temps et le manque d'entretien, ont laissé les routes ivoiriennes dans un état de délabrement très avancé. Que se soit à l'intérieur des villes ou entre les villes, la dégradation des routes est telle que la circulation n'est pas aisée. De gros nids de poule jonchent les différentes artères du pays. Ceux qui en payent le plus lourd tribut sont bien entendu les automobilistes. Les trajets du fait de la dégradation des voies, sont devenus plus longs et endommagent sérieusement les véhicules. Ces deniers sont les premiers à se frotter les mains. Et pour cause, les axes Aboisso-Bonoua, Aboisso-Noé, Bouaké-Djebenoua-Gnangban, Daloa-Guessabo et Guiglo-Blolequin, pour ne citer que ceux là, sont devenus plus praticables grâce au projet pilote HIMO. Si cette tendance gagne l'ensemble du territoire national, on peut l'affirmer, le calvaire des usagers va prendre fin. Pourvu qu'on n'abandonne pas ce projet en cours de chemin comme on en voit sous nos tropiques.
Thiery Latt (Stagiaire)

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