mercredi 4 juin 2008 par Le Patriote

La première célébration solennelle de la fête des mères, restera certainement gravée en lettres d'or, dans la mémoire des militantes RDR de Grand-Bassam. Leurs filles, membres du Sénat (espace de retrouvaille des militants RDR de Grand-Bassam), ont transformé en acte, la politique du Vivre ensemble et donc du partage prôné par leur parti, le RDR. A l'occasion de la fête des mères, à la gare routière de la première capitale de Côte d'Ivoire, en présence de Mme Madiara Yao Coulibaly, secrétaire national chargé du monde associatif et des ONG et sous la houlette de Koné Moussa Seydou, commissaire politique, une quarantaine de militantes RDR du département de Grand-Bassam a été magnifié. Chacune d'elle a reçu qui, un complet de pagne, qui, un service de vaisselles. Avant la remise de présents, l'assistance a eu droit à une série d'allocutions. D'abord, la présidente du comité d'organisation Kadidjatou Soumahoro et Fadiga Massendjé, présidente des sénatrices de Grand-Bassam, ont placé la cérémonie sous le signe d'une cérémonie sociale de remise de cadeaux pour magnifier la femme. Mme Ibo Maurice, au nom des marraines, a dit que fêter la maman et la magnifier devrait être un acte quotidien. Nous nous sommes associées à nos filles pour dire ensemble merci à nos mères parce qu'elles le méritent, a-t-elle indiqué. La présidente de la cérémonie, Mme Madiara Yao Coulibaly, s'est félicitée de l'organisation de la fête des mères à Grand-Bassam. Pour elle, le RDR est le seul parti politique en Côte d'Ivoire qui fait une part belle aux femmes. Etant donné, selon elle, que la femme est à la base de l'éducation, il est indispensable qu'elle ait beaucoup d'égards de la part de la société tout entière. Poursuivant, elle a indiqué que la femme a un rôle primordial à jouer pour un nouvel ordre social. Cet ordre ne peut être que le fait du président du RDR, croit elle. C'est pourquoi, elle a invité les femmes à lui donner leur suffrage à l'élection présidentielle du 30 novembre. Après avoir fait de beaux enfants, confiés-les à un président capable de leur assurer un avenir radieux. Et ce président, n'est autre que ADO, a-t-elle conclu.
TL.

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