samedi 7 juin 2008 par Le Nouveau Réveil

Les policiers ivoiriens ne sont pas contents, du moins une partie de cette corporation qui exige le payement d'arriérés de primes alimentaires. C'est que, selon des indiscrétions, il s'est instauré une sorte de traitement à double vitesse au sein des éléments de la police. Certains parmi eux auraient en effet perçu 45.000F quand d'autres sont obligés de ronger leurs freins sans savoir pourquoi ils n'ont pas été pris en compte par l'Etat lors des récents payements effectués.
Toute chose qui n'est pas faite pour plaire à ces policiers laissés-pour-compte, lesquels expriment sans se cacher leur mécontentement dans les casernes depuis quelques jours.
Par ces temps où le virus du syndicalisme se propage dans le corps de nos forces armées nationales, ce sont des détails à vite régler. Au nom du processus de paix.
Paul Koudou

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