mardi 4 août 2009 par Nord-Sud

Réfléchir sur le zouglou, c'est réfléchir sur notre société, a expliqué hier à Grand-Bassam, le Pr Grand-Bassam
Le zouglou à la conquête du monde

Réfléchir sur le zouglou, c'est réfléchir sur notre société, a expliqué hier à Grand-Bassam, le Pr Sery Bailly président du comité scientifique du séminaire sur le zouglou qui s'est ouvert hier à Grand-Bassam. Universitaires, journalistes, promoteurs et praticiens de ce courant musical sont réunis pour le promouvoir et lui donner une notoriété sous régionale et internationale. Durant trois jours les séminaristes vont étudier le phénomène zouglou pour mieux le connaître en tant que manifestation artistique. Il sera également question d'identifier d'autres mesures et moyens à mettre en ?uvre pour assurer la promotion du zouglou comme expression d'une forme d'identité ivoirienne. Le Pr Sery Bailly estime qu'il faut encourager le zouglou à assumer sa fonction critique actuelle afin qu'il ?uvre pour le futur. L'ex-ministre de la Communication a relevé les mérites de cette musique-danse urbaine reconnue comme un label ivoirien à travers le monde. Il assume son identité et peut combattre l'aliénation qui afflige notre société. Il a aussi mérité notre reconnaissance dans l'histoire récente de notre pays en tant que force de résistance, convainc-t-il.

Emmanuelle Kanga,
Correspondante régionale


président du comité scientifique du séminaire sur le zouglou qui s'est ouvert hier à Grand-Bassam. Universitaires, journalistes, promoteurs et praticiens de ce courant musical sont réunis pour le promouvoir et lui donner une notoriété sous régionale et internationale. Durant trois jours les séminaristes vont étudier le phénomène zouglou pour mieux le connaître en tant que manifestation artistique. Il sera également question d'identifier d'autres mesures et moyens à mettre en ?uvre pour assurer la promotion du zouglou comme expression d'une forme d'identité ivoirienne. Le Pr Sery Bailly estime qu'il faut encourager le zouglou à assumer sa fonction critique actuelle afin qu'il ?uvre pour le futur. L'ex-ministre de la Communication a relevé les mérites de cette musique-danse urbaine reconnue comme un label ivoirien à travers le monde. Il assume son identité et peut combattre l'aliénation qui afflige notre société. Il a aussi mérité notre reconnaissance dans l'histoire récente de notre pays en tant que force de résistance, convainc-t-il.

Emmanuelle Kanga,
Correspondante régionale

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