vendredi 28 janvier 2011 par Le Patriote

Appelez-le désormais Ben Koudou. Assurément. Les dictateurs ont le même destin.
Souroukou n'entend pas échapper au sien. Tout de même. Un chat reste un chat. Le peuple
pleure. Lui en rit. Il se nourrit du sang de ses concitoyens. Enfarineur à souhait. Un
boulanger dont le mythe a pris fin. Histoires de fait et faits historiques. Nuance. Il n'aura
été qu'un raconteur. Mal inspiré. L'histoire s'écrit. Comme à Tunis. Au bout la honte et
l'humiliation.

Coulibaly B.

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