Blaise Compaoré, la marche vers le progrès , le troisième ouvrage du journaliste ivoirien Bamba Alex Souleymane n'est pas encore disponible ; même si l'?uvre est prête à être éditée depuis trois ans. Le samedi 28 mai 2011, le livre a été l'objet d'un déjeuner-débat entre journalistes, à l'espace BMW aux II Plateaux. Chapitré en trois parties aussi attrayantes les unes que les autres , le livre témoignage de BAS est un corpus de cent une (101) pages et illustré d'une vingtaine de gravures photos inédites. Selon l'auteur, le livre est un hommage appuyé à SEM Blaise Compaoré pour son effort inlassable dans la résolution des crises en Afrique et tout particulièrement pour son implication résolue dans le règlement de la crise ivoirienne de 2002 à 2011. Blaise Compaoré est un symbole. Pour tout ce qu'il a fait pour la paix en Côte d'Ivoire et sur le contient africain, Blaise Compaoré doit avoir le Prix Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix , a souhaité BAS. Pour ceux qui caressent le caractère critique du journaliste averti, Bamba Alex a souligné vertement qu'il a su faire la part entre amitié et critique . A l'en croire, de mauvaises langues et des esprits étroits ont vite fait de verser dans la délation afin d'éclabousser le peuple ami et frère du Burkina Faso. Le peuple burkinbé a participé à l'essor de la Côte d'Ivoire. Les travaux dans les plantations, les travaux les plus vils (majordomes et gardiennage). Il faut avoir de la reconnaissance pour le peuple burkinabé. Le temps de l'indigence, de la vindicte et de la raillerie est passé ! , a rassuré le conseiller spécial du Premier ministre Soro Guillaume. Interrogé sur un article paru dans la presse qui le donnait comme un collabo de Laurent Gbagbo , Bamba Alex s'est expliqué sur un ton particulièrement irascible. J'ai trouvé cela méchant. Je ne le leur pardonnerai jamais, jamais ! J'ai confié le dossier à mon avocat qui a engagé une procédure pour atteinte à mon honorabilité et pour forfaiture, a fulminé le conseiller spécial Bamba Alex Souleymane.
Patrick K.