L'ancien patron du football ivoirien a suivi de près la rencontre de dimanche entre les Eléphants et les Hirondelles du Burundi. Dans cet entretien, il partage ses sentiments et assure qu'il demeure un supporter des Eléphants.
Qu'avez-vous retenu de la rencontre Eléphants-Hirondelles (2-1) du Burundi de dimanche ?
Les Ivoiriens sont sortis très nombreux et cela me réjouit. Ils s'attendaient à une avalanche de buts Je les comprends. Mais comme je l'ai signifié à certains amis, il n'y avait pas d'enjeu. Tant qu'il n'y a pas de pression sur l'équipe, les joueurs jouent à leur rythme.
Etes-vous d'accord avec nous qu'il y a encore du travail à faire dans cette sélection ?
C'est sûr ! Dimanche, le Burundi s'est bien battu mais nos joueurs ont relevé le défi. Cette équipe réagit toujours en fonction de l'adversité. J'ai confiance aux Eléphants avant la CAN 2012. J'ai confiance surtout que de grandes sélections manqueront à l'appel à la prochaine CAN au Gabon et en Guinée Equatoriale.
On vous voit toujours présent aux côtés des Eléphants. Est-ce à dire que vous n'êtes pas parti ?
Oh ! Je vous ai dit que quel que soit l'endroit où les Eléphants se produiront, si je peux, je m'y rends. Je reste un supporter des Eléphants. Personne ne peut m'enlever cela.