Dans quel état d'esprit retrouvez-vous la Côte d'Ivoire ?
Je suis plus qu'heureux de retrouver ce pays que j'ai appris à aimer. Vous vous rappelez certainement de la manière dont je suis parti de la Côte d'Ivoire en mars 2009
Qu'est-ce qui s'était passé ?
Il y avait eu de petits problèmes personnels dont je n'ai plus envie de parler. Retenez que certains petits problèmes d'organisation m'avaient contraint d'arrêter avec l'Africa en son temps. Depuis, j'étais retourné en Italie.
Vous avez seulement 9 matches de Superdivision à jouer pour sauver une situation. N'avez-vous pas peur d'échouer ?
Non ! Je suis un gagneur. Ma seule inquiétude est que je ne sais pas dans quelles dispositions mentales et physiques mes joueurs se trouvent. Mais, une chose est sûre, je suis là pour travailler et non pour des vacances. Je vous rappelle que j'ai déjà remporté deux titres de champion de Côte d'Ivoire avec ce groupe. Il y a du talent. Les joueurs ont juste besoin d'être motivés et de retrouver une belle animation de jeu.
Dans quelques heures (15h30), vous croisez l'Asec. Etes-vous prêt ?
Je connais bien ce club. C'est assez tôt mais ce n'est pas grave. C'est une rencontre comme une autre. Je suis certain que l'Africa fera un bon match.