mercredi 9 novembre 2011 par Nord-Sud

Les fondateurs d'écoles privées ayant déjà une autorisation provisoire, souhaitent avoir plus de temps pour se conformer aux textes en vigueur. C'est la principale doléance formulée par les promoteurs d'écoles privées au cours du séminaire qui les a réunis samedi dernier à la bibliothèque nationale, au Plateau. Organisé par le Bureau d'études pour le développement des écoles privées (Bedep). Les participants ont été instruits sur l'élaboration d'un projet bancable, la transformation d'une école privée en Pme, la détection et le niveau intellectuel des enfants précoces pour une scolarisation adaptée. Le président du Bedep, Alfred Koffi, a annoncé que la Bni est prête à financer les activités des écoles privées et à mettre à leur disposition un fonds de garantie annuel de 60 milliards Fcfa. Le chef de cabinet du ministre de l'éducation nationale, Abdoulaye Kouyaté, a saisi l'occasion pour revenir sur la politique de son département. La restructuration de l'enseignement privée est très importante. Il faut que chacun s'inscrive dans l'égalité constitutionnelle , a-t-il martelé. L'Etat a décidé qu'il y ait une brigade contre les écoles clandestines. Car l'école privée doit (normalement) être plus excellente que le public , a-t-il prévenu.

S.T.C. (stagiaire)

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