jeudi 9 aout 2012 par Jeune Afrique

Les chefs du camp militaire d'Akouédo, attaqué lundi par des assaillants armés, ont été limogés mercredi 8 août par le gouvernement ivoirien.

Les premières sanctions après l'attaque de la caserne d'Akouédo sont tombées. Pas contre les assaillants, dont l'identité reste encore inconnue, mais contre les chefs du camp militaire et ceux qui avaient la garde de l'arsenal dérobé lors de l'assaut.

D'après un communiqué du Conseil des ministres, les responsables du camp d'Akouédo (nord de la capitale économique ivoirienne) ont été relevés de leurs fonctions et "tous ceux qui avaient la garde des rateliers d'armes" arrêtés.

Le gouvernement a aussi annoncé "la sécurisation de tous les dépôts d'armes et munitions" et "la mise en oeuvre d'un plan stratégique de surveillance des points sensibles" du pays, sans plus de détails. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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