lundi 28 janvier 2013 par Le Nouveau Réveil

Le Pdg de Olheol Côte d'Ivoire, Charles Alexandre Kéita, a exprimé cette inquiétude, dimanche dernier au cours d'une conférence de presse, au Plateau. "De nombreuses huiles passent par les frontières. Mais il y a un besoin en huiles de bonne qualité. Bouaké, après étude, a été vue comme la région où il est possible de faire des huiles de graines de coton, de soja", a-t-il déclaré à la suite d'une question relative à la pratique d'une forte contrebande sur les huiles en Côte d'Ivoire. Charles Kéita rencontrait la presse, à la suite de "la campagne de dénigrement" dont lui et son entreprise ont fait l'objet." Depuis mai 2012, nous subissons, tant dans la presse nationale que via internet, une campagne de dénigrement systématique et quasi quotidienne dont l'objectif est de nous discréditer pour ne pas dire nous diaboliser. Jusqu'à présent, à cette campagne d'intoxication, nous avons opposé le silence et nous avons refusé toute polémique, préférant orienter nos efforts sur des actions concrètes devant permettre le redémarrage de l'usine. En cela, il faut reconnaître, à ce jour, que nous avons eu raison sur toutes ces man?uvres déloyales qui nous ont fait grand tort, alors que nous dépensions toute notre énergie pour retrouver la confiance aussi bien des différents acteurs de la filière coton que de nos partenaires ainsi que de notre personnel". De son avis, "3 milliards F ont été investis dans cette unité de production, et 600 millions F ont été versés en salaires aux travailleurs alors que l'usine n'a encore pas produit ni le moindre litre d'huile, ni le moindre kilo de tourteauxnous avons tenu toutes ses promesses". 150 agents sont en activité et 300 à 400 emplois attendent d'éventuels demandeurs. Cette usine est spécialisée dans l'agroalimentaire et les huiles de table.
PARFAIT TADJAU

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