samedi 23 fevrier 2013 par L'intelligent d'Abidjan

Suite à l'article faisant état de la vente de l'hôtel Harmattan de Bouaké, le liquidateur est monté au créneau. Dans ce droit de réponse, il fait des précisions.

Monsieur le Directeur de publication
Dans votre numéro du 1er février 2013, monsieur Bosco de Paré affirme en page 12 que l'hôtel Harmattan a été vendu à l'insu des propriétaires. Pour lever toute équivoque je tiens à ce que vous publiez ce droit de réponse :
En effet l'assemblée générale mixte des actionnaires de la compagnie hôtelière de Bouaké, propriétaire de l'hôtel Harmattan m'a nommé comme liquidateur amiable de la compagnie Hôtelière de Bouaké après une dissolution anticipée de la société conformément à l'article 48 des statuts. Au cours de cette même assemblée générale le complexe a été cédé au groupe ?' Konan Kouakou ?'. Une insertion a été faite dans un journal d'annonces légales (Fraternité Matin du 29-01-1997). Le 1er août 2011, les actionnaires de la société donnaient procuration à monsieur Ebrin afin de vendre l'hôtel Harmattan. Suite à la défaillance du Groupe ?' Konan Kouakou ?' et après que l'hôtel ait été entièrement pillé, au cours des évènements de 2002, une assemblée générale des actionnaires du 30-06-2012 autorisait le liquidateur à trouver un autre acquéreur. Aucun actionnaire ne peut donc prétendre que l'hôtel a été vendu à son insu.
Je vous prie, d'agréer Monsieur le Directeur de publication l'expression de ma très haute considération.

Monsieur Ebrin Michel
Liquidateur de la compagnie hôtelière de Bouaké
Comhotel Liquidation
Compagnie Hôtelière
de Bouaké

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