Le Nouveau Réveil" est en deuil. L'épouse du Directeur des Rédactions, Akwaba Saint Clair, a tiré sa révérence, dans la nuit de vendredi à samedi dernier. Informé, le directeur général du Nouveau Réveil, Patrice Yao, qui a joint tous ses collaborateurs au téléphone, a conduit une forte délégation, samedi, à 11 heures au domicile d'Akwaba Saint Clair afin de lui apporter soutien et réconfort en ces moments difficiles. Au nom du président fondateur, Denis Kah Zion, en déplacement à l'intérieur du pays, au nom du directeur général et du personnel, Nanankoua Gnamantêh, médiateur du Groupe Le Réveil, a présenté les condoléances à la famille d'Akwaba Saint Clair. Egalement informé, le chef de la cellule communication du président de la République, Gon Amadou, a effectué le déplacement à Marcory Remblais pour soutenir le journaliste et toute sa famille. Arthur Kouassi, chef de Cabinet du Premier ministre, Yves Abiet du Conseil national de la presse (Cnp) et bien d'autres confrères du monde des médias ont aussi manifesté leur solidarité à Akwaba Saint Clair. Notons que rentré à Abidjan, le président fondateur du "Nouveau Réveil", Denis Kah Zion, était également au domicile de son proche collaborateur Akwaba Saint-Clair pour lui apporter sa compassion et son soutien indéfectible. Hier dimanche, Akwaba Saint Clair avait également à ses côtés ses collègues, ses amis et plusieurs autres connaissances. Mais, cette fois-ci, à Ivosep. L'émotion était grande. Très grande. Difficile de retenir les larmes. Devant la dépouille de Patricia, l'épouse d'Akwaba Saint Clair, rédacteur en chef central et directeur des rédactions de " Le Nouveau Réveil". C'est à 19 heures 19 minutes que le corps de Patricia est arrivé à Ivosep. Où l'attendait son mari inconsolable. A l'arrivée du corbillard, il était encore très difficile de contenir les émotions. Impossible de maîtriser les parents de la défunte. Son époux surtout. Invité à venir voir " sa " Patricia à 19 heures 34 minutes dans une salle où elle a été exposée, Akwaba Saint Clair, il fallait s'y attendre, n'a pu résister. Après une prière pour le repos de l'âme de sa chérie, il s'est approché de celle qu'il a tant aimée pour lui dire un mot. A l'oreille certainement. " Bijou, bijou", s'est-il écrié. Sans avoir une réponse de "Patricia" jusqu'à ce qu'il prenne place juste à côté du corps. Impuissant face au destin. Cruel. Les parents de la défunte et toutes les personnes qui ont effectué le déplacement à Ivosep ont également refusé de croire que Patricia est partie. Pleurs et cris, chacun, à sa façon, a dit non à cette tragique disparition. Une prière a été dite sur place pour confier la tendre épouse de notre collaborateur au Seigneur en attendant le jour de la triste et ultime séparation.
DIARRASSOUBA SORY et DJE KM