lundi 26 mai 2014 par Jeune Afrique

Le mystère qui entoure ceux qui ont dû quitter la Côte d'Ivoire pendant la crise postélectorale avant d'y revenir reflète la fragilité inhérente au Front populaire ivoirien (FPI). Enquête.
À Abidjan, non loin du lycée technique de Cocody, une imposante bâtisse de couleur ocre attire l'attention. Devant, une petite dizaine d'hommes, en civil et non armés, montent la garde. D'autres, en treillis, foulent le sol d'incessants va-et-vient. Cette maison appartient à Marcel Gossio, l'ancien directeur du port d'Abidjan. Pourtant, quatre mois après la fin de l'exil marocain de son propriétaire, elle est toujours occupée. Bien sûr, ce pilier du régime de Laurent Gbagbo n'est pas à la rue. L'homme possède plusieurs propriétés, dont une dans le quartier Riviera-III, où des ouvriers s'affairent depuis plusieurs semaines. Mais son cas est vraiment symptomatique du malaise qui entoure la situation des anciens exilés du Front populaire ivoirien (FPI). ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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