mercredi 28 mai 2014 par Jeune Afrique

Douane, commerce, transports, banques... Dans tous ces secteurs, selon le FMI, l'Union n'existe en grande partie que sur le papier. Pour améliorer leurs résultats, les huit de l'Union économique et monétaire ouest-africaine vont devoir apprendre à jouer collectif.

Annoncée à 6,5 % pour l'année 2014, la croissance de l'Union économique et monétaire ouest-africaine semble vigoureuse. Elle n'en reste pas moins précaire, dépendante de facteurs peu contrôlables : prix de l'énergie, qui retentissent sur les budgets des états et des familles ; cours mondiaux des matières premières, qui représentent une grande partie des recettes d'exportation ; ou conditions climatiques, dont dépendent les récoltes. Par ailleurs, cette croissance ne réduit pas autant la pauvreté que dans les pays voisins. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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