mardi 10 juin 2014 par Africa Top Sports

Pourquoi une génération dite dorée peine-t-elle à graver son nom dans le marbre? Question lancinante qui rythme l'évolution des Eléphants de Côte d'Ivoire, depuis une bonne dizaine d'années.

Malgré la somme d'individualités, la vitrine reste tristement dégarnie: 5 participations sans succès à la CAN, avec comme fine lueur dans la grisaille, des finales perdues (2006 et 2012); deux sorties prématurées en Coupe du monde (phase de poules). Certes, le football a ses raisons que la raison elle-même ignore, à savoir que les plus forts ne sont pas forcément les vainqueurs. C'est, disons, la thèse de la chance, soutenue par Didier Drogba dans sa récente interview sur le site Web de la Fédération Ivoirienne de Football (FIF). Je dirais de la réussite. On a joué deux finales de CAN qu'on a perdues aux tirs au but .

Mais, cela suffit-il pour dédouaner les Eléphants? Pas sûr? Vu que l'histoire retient généralement l'Or et non les médailles de consolation, il importe de pousser la réflexion. La sélection ivoirienne est-elle véritablement compétitive? A cette interrogation, les observateurs s'accordent à répondre par la négative, depuis l'ère Henri Michel. Exception faite, bien sûr de la CAN 2006 où, certainement, très peu attendue, la bande à Didier Drogba avait produit un football digne de son rang, mêlant engagement, solidarité et efficacité. ... suite de l'article sur Africa Top Sports

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