vendredi 13 juin 2014 par Jeune Afrique

Le coup d'envoi du Mondial 2014 a été donné jeudi soir. Or les cinq sélections africaines en lice étaient déjà présentes il y a quatre ans en Afrique du Sud. Toutes espèrent faire mieux au Brésil... Zoom sur leurs petites faiblesses et leurs grands atouts.

Depuis 1986, c'est une constante : pas une seule Coupe du monde sans ses représentants africains au second tour - le Cameroun en 1990, le Nigeria en 1994 et 1998, le Sénégal en 2002, puis le Ghana en 2006 et 2010. Trois de ces sélections ont même rejoint les quarts de finale - le Cameroun en 1990, le Sénégal en 2002 et le Ghana en 2010 -, laissant parfois un goût d'inachevé à ceux qui les croyaient capables de se hisser dans un dernier carré presque exclusivement réservé aux Européens et aux Sud-Américains. Hormis l'Afrique du Sud, qualifiée d'office en 2010 en tant que nation organisatrice, cette édition brésilienne retrouve les mêmes équipes africaines qu'il y a quatre ans : la Côte d'Ivoire, le Cameroun, le Nigeria, le Ghana et l'Algérie.

La première est celle qui a le plus de chances de prolonger son séjour brésilien. Lors des précédentes compétitions, les Éléphants avaient hérité de tirages au sort épouvantables. En 2006, ils ont ainsi affronté dès le premier tour les Pays-Bas, l'Argentine et la Serbie-et-Monténégro, quand l'édition 2010 les a propulsés face au Brésil, au Portugal et à la Corée du Nord... Cette année, ils se retrouvent dans le groupe a priori le plus homogène, puisque la Grèce, la Colombie et le Japon ont un niveau à peu près équivalent au leur. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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