lundi 29 septembre 2014 par Jeune Afrique

Alors que le cours du caoutchouc ne cesse de baisser depuis trois ans, les producteurs font le dos rond en attendant des jours meilleurs. Et demandent au gouvernement de moins taxer leur activité.

"Il faut accepter la faiblesse actuelle du cours et attendre que ça passe", lâche, résigné, un professionnel du secteur de l'hévéa. Car après une augmentation quasi ininterrompue (à l'exception de l'année 2009) du prix moyen du caoutchouc naturel payé aux producteurs ivoiriens entre 2004 et 2011 (il est passé de 217 à 766 F CFA le kilo), celui-ci n'a depuis cessé de baisser. En 2013, il se situait à 445 F CFA (0,68 euro). Cause principale : le ralentissement de la demande des fabricants de pneus. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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