jeudi 13 novembre 2014 par Notre Voie

25% des cas de viol se règlent à l'amiable en Côte d'Ivoire selon le PNUD. En 2005, ce pourcentage était de 60%. C'est l'une des révélations de l'atelier de formation des journalistes qui a eu lieu lundi dernier à l'hôtel Novotel à l'initiative du programme des nations-unies pour le développement (PNUD). Selon M. Jean Paul N'koruziza de la police des nations unies (UNIPOL) ce pourcentage est inacceptable. Car selon lui, les cas de viol doivent être punis comme l'exige la loi. A en croire l'orateur en duo avec M. Brice Allowanou, son collègue chaque semaine, je suis informé d'au moins 5 cas de viole en Côte d'Ivoire .
C'est pourquoi permettre aux journalistes de dénoncer cet état de fait que le PNUD a sus cité la mise en place d'un réseau de journalistes pour la promotion du genre dans le milieu de la police. Après la formation des policiers au cours d atelier de 10 jours, ça été le tour des journalistes. L'idée est de faire en sorte que la police nationale ne reste plus insensible au cas de violences basée sur le genre. Durant une journée, les journalistes présentés comme le quatrième pouvoir, ont été instruit sur ce programme d'intégration du genre à la police nationale. Deux policiers de la police des nations unies (UNPOL) ont présenté les lois et dispositions nationales qui répriment les cas de violence basées sur le genre. Comment l'analyse du genre doit se faire à la police.
Un plan de formation sur le genre existe déjà selon M. Jean Paul N'koruziza à l'école de police

Coulibaly Zié Oumar

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