jeudi 13 novembre 2014 par Jeune Afrique

Alors que l'épidémie d'Ebola révèle les failles du système de santé, des secteurs aussi essentiels que l'agriculture ou l'éducation progressent avec difficulté en Afrique subsaharienne. Malgré leurs engagements pris au tournant du siècle, les États n'ont pas tenu toutes leurs promesses.

"Championne de la croissance", "prochaine locomotive de l'économie mondiale", "nouveau marché frontière"... Les superlatifs n'ont pas manqué au cours de la dernière décennie pour qualifier la progression du PIB de l'Afrique. Les institutions internationales félicitent unanimement le continent pour ses performances économiques.

Pour les plus optimistes, l'Afrique, dont le taux de croissance devrait atteindre 6,1 % cette année (hors Afrique du Sud), pourrait bientôt suivre un rythme équivalent à l'Asie émergente (6,7 % en 2014) en matière de création de richesses. Mais ces institutions et les décideurs économiques ont alerté les dirigeants africains sur l'impérieuse nécessité de ne pas oublier les secteurs socio-économiques prioritaires. La croissance doit être inclusive pour les populations, selon le dernier concept des bailleurs de fonds internationaux.
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