samedi 29 novembre 2014 par Jeune Afrique

Une réunion de la dernière chance pourrait avoir lieu avant le huis-clos des chefs d'État, dimanche. Objectif : arriver à dégager un consensus sur une candidature africaine à la succession du secrétaire général de la Francophonie, Abdou Diouf.

Mis à jour à 19h57.

L'Afrique parlera-t-elle d'une seule voix au moment de désigner le successeur d'Abdou Diouf, ce dimanche, lors d'une séance à huis-clos entre chefs d'État présents au sommet de Dakar ? Pour l'heure, rien n'est moins sûr, ce qui inquiète certaines délégations qui craignent que cette désunion n'aboutisse à favoriser la désignation de la candidate canadienne Michaëlle Jean. "En tant que personne, Michaëlle Jean a beaucoup de qualités, mais nous ne voyons pas le Canada prendre la tête de l'OIF", indique une source ministérielle africaine présente a Dakar. Il est vrai qu'au sommet de 2012, à Kinshasa, le Canada s'était montré opposé à l'élargissement du cercle fermé des membres permanents du conseil de sécurité de l'ONU à un pays africain. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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