jeudi 18 decembre 2014 par L'intelligent d'Abidjan

C'est une excellente idée que d'accroître les infrastructures routières dans le pays. Mais il n'y a pas que cela. Car à côté des infrastructures, les Ivoiriens meurent de faim. A défaut de conduire en tandem ces deux facteurs, il faut réduire le problème de la pauvreté d'abord. Si les Ivoiriens meurent de faim, ils ne circuleront pas sur le pont. Mais j'avoue que c'est une très bonne chose. Le fait que ce pont soit à péage est une habitude qu'il faut avoir. Dans les pays développés, pour la construction et l'entretien des routes, il y a le péage. Maintenant, est-ce que les Ivoiriens vont accepter le péage pour l'entretien des routes ? Tout est une question de niveau de vie. Il faut adapter les coûts de prestation de services au niveau de vie des populations. Or souvent nous voyons simplement l'objectif sans voir ceux qui doivent payer. A partir de ce moment, il y a un déséquilibre. Et le projet même peut mourir. Car les Ivoiriens risquent d'éviter le 3e pont

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