jeudi 22 janvier 2015 par L'Inter

Les mouvements de grève dans l'Enseignement primaire public et à l'Université font perdre le sommeil aux parents d'élèves et étudiants.
En effet, le Syndicat des instituteurs pour une nouvelle vision de l'école en Côte d'Ivoire (Sinoveci) a observé une grève de 48 heures, les lundi 19 et mardi 20 janvier, pour revendiquer le paiement intégral des arriérés dus au titre de l'indemnité de logement et de la bonification indiciaire, l'octroi de primes pour les postes déshérités, les classes surchargées et les risques liés au métier, le renforcement des capacités des instituteurs, le reclassement des instituteurs adjoints au grade B3.

Du côté de l'université, un comité ad'hoc de la Coordination nationale des enseignants du supérieur et des chercheurs (Cnec) conduit une grève illimitée. Ce comité exige le paiement des arriérés de salaires dus au titre de la grille particulière depuis 2009, l'application des nouveaux taux horaires, la revalorisation des indemnités d'encadrement des mémoires et de participation aux jurys des Masters 1 et 2 et thèse de doctorat, la revalorisation de la prime de recherche et la trimestrialisation de son paiement, etc. Comme si cela ne suffisait pas, il est annoncé une action des élèves et étudiants pour protester contre ces mouvements de grève de leurs enseignants.

Devant cette situation de grèves tous azimuts, les parents d'élèves et d'étudiants ne savent plus où donner de la tête. M. Claude Kadio Aka, président de l'Organisation des parents d'élèves et étudiants de Côte d'Ivoire (Opeeci), qui nous a joint hier mardi 20 janvier, n'a pas caché son inquiétude et celle de ses membres. ... suite de l'article sur L'Inter

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