Abidjan - L'attaquant ivoirien, Max Alain Gradel, qui a égalisé pour son équipe samedi, contre les Aigles du Mali, explique les contreperformances du groupe à la coupe d'Afrique des nations par la recherche d'automatisme à mettre en place.
Il faut mettre en place un système de jeu. Vous avez vu qu'aujourd'hui, on a joué en 3-5-2 et c'est la première fois qu'on l'essaie. Je pense qu'il y a beaucoup de nouveaux joueurs aussi.
Il faut essayer de trouver les automatismes à mettre en place. Je crois que c'est ce qui nous fait défaut , a justifié, le buteur d'un soir, au terme de la rencontre, sur les ondes de la télévision ivoirienne.
Selon le Stéphanois, les choses iront pour le mieux pour le groupe à Hervé Renard et leur jeu sera plus fluide une fois que tout cela aura été mis en place , se réjouissant d'avoir emboîté le pas à son coéquipier Doumbia Seydou, qui entré en cours de jeu contre la Guinée, avait rétabli la parité au score.
La dernière fois, c'était Doumbia Seydou qui avait marqué, aujourd'hui, c'est moi.
La prochaine fois, ce sera quelqu'un d'autre. Il faut continuer sur cette lancée , a indiqué Max Gradel, promettant de se battre pour une qualification en quarts de finale contre le Cameroun, leur prochain adversaire de mercredi, au stade de Malabo.
A l'issue de la deuxième journée dans la poule D, les quatre pays que sont le Mali, la Guinée, la Côte d'Ivoire et le Cameroun, ont chacun deux points et une différence de buts de (+0) avec le même de buts marqués, souligne-t-on.
fmo