mercredi 30 decembre 2015 par Jeune Afrique

Le 21 décembre, la justice burkinabè a annoncé qu'un mandat d'arrêt avait été lancé à l'encontre de Blaise Compaoré, l'ancien président exilé en Côte d'Ivoire, en raison de son rôle supposé dans l'assassinat de Thomas Sankara, en 1987.

Mais Alassane Ouattara était informé des menaces qui pèsent sur la tranquillité de son ami depuis déjà une semaine : dès le 15 décembre, il avait activé ses réseaux. Marcel Amon-Tanoh, son directeur de cabinet, et Ally Coulibaly, le ministre de l'Intégration africaine, ont été mis à contribution. Par ailleurs, plusieurs anciens ministres burkinabè ont été interrogés pour établir avec précision ce que prévoit la loi de ce pays s'agissant de l'immunité des anciens chefs d'État : oui ou non, est-il possible de se prévaloir de l'amnistie votée en juin 2012 à Ouagadougou ? ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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