lundi 23 fevrier 2015 par Notre Voie

Le communiqué paru dans Le Temps du jeudi était clair. C'est le premier secrétaire national adjoint chargé des Relations extérieures, Justin Koua, qui a convoqué l'Ag extraordinaire. Au regard des textes, son geste est illégal. L'article 27 stipule que l'assemblée générale se réunit en session ordinaire tous les trois mois sur convocation du Ben ; elle peut toutefois se réunir en session extraordinaire soit sur convocation du Ben, soit à la demande des 2/3 de ses membres ou de la direction du parti. Or, ici, la preuve n'a pas été donnée que c'est les 2/3 qui convoquaient ou que c'était la direction du parti qui avait pris cette décision.
Il faut comprendre que le 1er secrétaire national adjoint chargé des Relations extérieures n'assure pas l'intérim du secrétaire national en cas d'empêchement. Il n'est pas habilité à convoquer une assemblée générale, encore moins à la présider. Parce que la présidence de l'assemblée générale de la Jfpi est la prérogative exclusive du secrétaire national. L'assemblée générale est un organe de décision chargé de délibérer sur les problèmes à lui soumis par les membres. Elle est présidée par le secrétaire national, indique l'article 29. L'article 32 dispose que le secrétaire national préside toutes les réunions du Ben et les Ag. Il est superviseur général de l'ensemble des activités de la Jfpi qu'il représente partout.

C.E.

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