mercredi 6 mai 2015 par L'Inter

Les crimes survenus pendant la crise post-électorale font actuellement l'objet d'instructions au double niveau national et international. Notamment devant la Cellule spéciale d'enquête et d'instruction (Csei) et la Cour pénale internationale (Cpi).
Jusqu'à présent, les chefs d'accusation à instruire tournent autour des crimes de sang et de génocide. Des activistes des droits de l'homme estiment que les éléments à charge doivent comporter d'autres types de violations. Ils ciblent, à cet effet, prioritairement les crimes sexuels et les actes de torture. Amnesty International est de cet avis. A propos, en annexe confidentielle (non publique) de son dernier rapport dont nous feuilletons les pages depuis quelques jours, ce document fournit une analyse plus approfondie du contexte, ainsi que des causes et des responsabilités de toutes les parties qui ont commis des crimes de guerre et crimes contre l'humanité au cours des violences qui ont secoué la Côte d'Ivoire.
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