dimanche 17 mai 2015 par Linfodrome

Après la 101ème Assemblée plénière de la Conférence des évêques catholiques de Côte d'Ivoire, qui s'est tenue du 04 au 10 mai 2015 à Taabo, dans le diocèse d'Agboville, il est difficile, pour l'heure, de comprendre avec précision, les dessous de la réaction des prélats ivoiriens sur le cas de Mgr Paul Siméon Ahouana, nommé à la tête de la Commission nationale pour la réconciliation et l'indemnisation des victimes (Conariv), en mars dernier par le chef de l'Etat.
On se rappelle qu'à l'issue de ladite conférence, l'Église catholique de Côte d'Ivoire a clairement donné sa position devant cette nomination de l'un de ses guides. Les archevêques et évêques de Côte d'Ivoire tiennent à informer les membres du clergé, les religieux, les religieuses et les fidèles laïcs qu'ils n'ont été associés ni de près ni de loin par leur confrère à cet engagement. C'est pourquoi, dans l'esprit du Canon 285 du Code de Droit Canonique de 1983, ils tiennent à préciser qu'ils ne sont pas comptables des actes qu'il posera dans l'exercice de sa nouvelle charge à la tête de la Conariv, a fait savoir la hiérarchie de l'Église catholique ivoirienne... ... suite de l'article sur Autre presse

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