mercredi 29 juillet 2015 par Fraternité Matin

Et pendant ce temps, des voix pas très audibles exigent une transition. Faut-il en rire ou en pleurer ? Résumons. On a un processus électoral déjà engagé. Un Président qui gouverne sans rébellion, sur les 322 362 km2, avec une seule armée, une seule administration, candidat à sa propre succession, soutenu par une coalition forte, qui a en face des candidats sans réelle base électorale et qui plus est, a un bon bilan. Tout est donc réuni pour sa réélection. Et c'est ce Président-là qui, à moins de 3 mois du scrutin, devrait, sans raison valable, se faire hara-kiri et instaurer une transition ? De deux choses l'une. Soit ces opposants vivent sur une autre planète, soit ils sont d'une incurie politique désespérante !

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