Les avocats de Laurent Gbagbo demandait sa libération provisoire pour raison de santé. Leur demande a été rejetée mardi 8 septembre par les juges de la Cour pénale internationale (CPI) devant laquelle l'ex-chef de l'État ivoirien doit être jugé le 10 novembre.
Ce n'est pas la première fois que la défense introduit une demande de libération provisoire pour raison de santé. À chaque fois, la CPI s'y est opposée.
Transféré fin 2011 à La Haye, Laurent Gbagbo doit répondre de quatre chefs de crimes contre l'humanité perpétrés dans le contexte de ces violences postélectorales. ... suite de l'article sur Jeune Afrique