mercredi 28 octobre 2015 par L'Inter

La pression s'est-elle relâchée sur Guillaume Soro dans l'affaire du putsch manqué au Burkina Faso ?

L'hebdomadaire Jeune Afrique, dans sa dernière édition, consacre un papier à la récente perquisition du domicile ouagalais du chef du Parlement ivoirien. Les autorités burkinabé se sont excusées après le fâcheux incident expliquant qu'elles s'étaient trompées de résidence, apprend le bimensuel. Les magistrats auraient évoqué une commission rogatoire mais l'Ambassade de Côte d'Ivoire à Ouaga n'en aurait pas eu connaissance. 

En fait du domicile de Guillaume Soro, ce seraient plutôt les résidences de Chantal Compaoré, l'ancienne Première dame, et de Moustapha Chafi, ex-conseiller de Blaise Compaoré, qui étaient dans le viseur des juges. Dans le camp ivoirien, précisément, du côté des proches du président de l'Assemblée nationale,  on apprécie modérément les récents événements y voyant une  violation de domicile .  JA indique qu'Abidjan ne devrait pas laisser l'acte  inamical  sans conséquence. ... suite de l'article sur L'Inter

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