mercredi 28 octobre 2015 par Jeune Afrique

Assuré par tablettes tactiles, le contrôle biométrique et le transfert électronique des résultats de la présidentielle ivoirienne a connu quelques ratés.

Le scrutin présidentiel ivoirien du 25 octobre dernier a été le plus high-tech de l'histoire de la Côte d'Ivoire. Pour éviter les accusations de fraude, la Commission électorale indépendante (CEI) et son partenaire technique, Safran Morpho, avaient mis en ?uvre un transfert électronique des résultats et surtout un contrôle biométrique des électeurs grâce à des tablettes. Mais, dans la pratique, plusieurs couacs ont été enregistrés.

De fait, dimanche dernier, les tablettes ont souvent posé problème dans les bureaux de votes, ce qui a amené l'ex-président nigérian Olusegun Obasanjo, observateur de la Cedeao, à les qualifier de gadgets inutiles. Les agents ne savaient pas les manipuler ou elles se déchargeaient vite. Certains bureaux ont dû recourir au vote normal , confie un diplomate de l'Union africaine.

23 000 tablettes ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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