La dépollution des sites de déversement des déchets toxiques (Alepé 1 et 2) de Djibi village dans la commune d'Abobo, va certainement mettre fin à certaines pratiques qui ont cours dans le milieu des associations des victimes des déchets toxiques. Précisément à l'arnaque dont sont victimes des populations par de la part d'associations.
Depuis août 2006, la présence des déchets toxiques en Côte d'Ivoire a favorisé la création de plusieurs Ong et associations en charge de la gestion de cette crise humanitaire qui avait causé la mort de plusieurs personnes aux premières heures du déversement. Les sources officielles ont annoncé 17 morts et des dizaines de milliers de personnes intoxiquées, dont 43 492 cas d'empoisonnement confirmés par l'Institut d'hygiène publique. La présence de ces déchets, durant toutes ces années sur le sol ivoirien, continue de faire des victimes. Cela est un prétexte pour ces associations de poursuivre le recensement pour la prise en compte des nouvelles victimes dans le processus d'indemnisation future. Les responsables de ces organisations, dans le cadre de ces opérations de recensement, avaient trouvé un véritable credo pour s'enrichir. ... suite de l'article sur L'Inter