L'affaire dite de l'écoute téléphonique continue d'animer les débats sur les réseaux sociaux et dans la presse en ligne au Burkina Faso. Chacun y va de son commentaire. Un deuxième document d'un peu plus d'une minute a été publié. On y reconnait les mêmes voix mais le contenu de la conversation diffère du premier. Les autorités de transition n'ont pour le moment pas réagi. ... suite de l'article sur RFI