vendredi 4 decembre 2015 par Jeune Afrique

À Paris, les Africains réclament que les pays développés leur cèdent les technologies propres, souvent très coûteuses, afin de pouvoir allier développement et protection de la planète.

Tous les chefs d'État africains, ou presque, ont évoqué ce sujet lors de l'ouverture officielle de la COP21, le 30 novembre. Mais le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, qui dirige le comité des présidents africains sur le climat, a lancé la charge la plus lourde.

Les transferts de technologie sont un impératif, [et seront] la preuve principale du sérieux de la communauté internationale face au changement climatique , a-t-il déclaré devant le parterre d'officiels venant des cinq continents et réunis dans la grande salle plénière du Bourget, près de Paris.

Dans les allées de la conférence climatique, personne ne sait très bien en quoi doit constituer, concrètement, cette demande. Cela reste encore flou , admet Nicolas Hulot, envoyé spécial de François Hollande pour la protection de la planète. Mais il y a plusieurs hypothèses. Il peut très bien s'agir d'entreprises qui cèdent leur licence pour permettre aux pays de fabriquer eux-mêmes leurs propres produits. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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