loin dans la vision de nos religions, a-t-il dit, face à la presse, vendredi, à l'Université Charles Louis de Montesquieu.
De fait, l'homme de lettre qui a mené des recherches sur la tradition africaine depuis plusieurs années, entend désormais s'orienter vers les spiritualités africaines. A partir de cette année, l'objet premier de mes recherches sera la quête profonde de toutes les spiritualités africaines , a-t-il expliqué. Quelle raison ? Simple, répond-il en expliquant qu'il est nécessaire pour l'Afrique de retrouver son âme perdue. Les peuples africains manquent d'âme, déplore-t-il.
Plus clairement, il s'agit pour le promoteur du Festival de la route des reines et des rois d'aller dans le sens des travaux de Jean-Marie Adiaffi. Je veux assurer le prolongement des travaux de Jean-Marie Adiaffi , dit-il. Mais, précision de taille, selon Pr. Amoa, non pas dans une vision pessimiste, mais plutôt en embrassant les religions comme génie de l'âme africaine. ... suite de l'article sur Fraternité Matin