Après l'ouverture du procès, le 21 janvier, des assassins de l'ex-général putschiste Robert Gueï, le tribunal militaire d'Abidjan, présidé par le colonel Ange Kessy, va exhumer le dossier des soixante gendarmes tués le 6 octobre 2002 à Bouaké, fief du Mouvement patriotique de Côte d'Ivoire (MPCI) dirigé à l'époque par Guillaume Soro. ... suite de l'article sur Jeune Afrique