mercredi 27 janvier 2016 par L'Inter

Me Habiba Touré se signale à nouveau.
L'avocate de Michel Gbagbo, qui a défrayé la chronique début décembre, avec la plainte contre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro, devant le tribunal de grande instance de Paris, revient cette fois avec le dossier des tueries à l'Ouest de la Côte d'Ivoire durant les crises successives que le pays a connues. Elle défend ici les intérêts des victimes de ces tueries. Dans son viseur, les forces pro-Ouattara soupçonnées d'avoir commis des massacres sur des populations civiles autochtones de l'Ouest. Un communiqué de presse qu'elle a signé et rendu public hier lundi 25 janvier 2016, rappelle que  cinq (5) ans après la crise postélectorale, et quatorze (14) ans après le début des exactions subies par les populations civiles, principalement à l'Ouest de la Côte d'Ivoire (), aucun membre des forces pro-Ouattara suspecté d'avoir commis ces graves crimes contre l'humanité n'a été poursuivi par Madame le Procureur près la Cour pénale internationale (Cpi . Me Habiba dénonce un  désespoir  et une  négligence coupable  de Fatou Bensouda. Cela a amené, selon elle, 1073 victimes et leurs ayant-droit à adresser des demandes de participation aux procès sur la crise postélectorale, notamment contre Laurent Gbagbo, ancien président ivoirien, et Charles Blé Goudé, patron des jeunes patriotes,  qui s'ouvrent à la Cpi le 28 janvier prochain. ... suite de l'article sur L'Inter

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