mardi 22 mars 2016 par Fraternité Matin

Pour le Chef de l'État ivoirien, Alassane Ouattara, présent à la cérémonie, il ne peut y avoir de développement sans une réelle volonté d'industrialisation des économies en Afrique. L'Afrique a besoin d'un secteur privé fort pour développer sa croissance , a-t-il souligné.

Le président du groupe de la Banque africaine de développement (Bad), Dr Akinwumi Adesina, a donné, ce lundi 21 mars, cinq nouvelles priorités à même de soutenir l'indispensable transformation des économies africaines. Il s'agit d'éclairer l'Afrique et l'alimenter en énergie; la nourrir; l'industrialiser; l'intégrer et améliorer les conditions de vie des populations africaines , a indiqué Dr Adesina, à l'ouverture de la 4e édition de Africa Ceo forum , à Abidjan.

Pour le Chef de l'État ivoirien, Alassane Ouattara, présent à la cérémonie, il ne peut y avoir de développement sans une réelle volonté d'industrialisation des économies en Afrique. L'Afrique a besoin d'un secteur privé fort pour développer sa croissance , a-t-il souligné. Nous sommes pour un secteur privé fort dans nos économies , a-t-il soutenu. Avant d'ajouter que le Plan national de développement (Pnd) 2016-2020 de son pays, doté de 30 000 milliards de Fcfa, accorde 62% de ce budget au secteur privé.

Abondant dans le même sens, le président de la Bad indiquera: le portefeuille d'engagements de la banque en faveur du secteur privé a augmenté . Il est passé de 300 millions de dollars en 2004 à 2,15 milliards en 2015, a dit le président Adesina. Selon lui, les actionnaires de la Bad demandent à l'institution de faire davantage en vue d'un renforcement du développement du secteur privé sur le continent africain. ... suite de l'article sur Fraternité Matin

www.225.ci - A propos - Plan du site - Questions / Réponses © 2023