jeudi 7 avril 2016 par Soir Info

Marie-Odette Lorougnon, que nous avons également jointe, s'est dite sereine. Je vais bien et j'ai le moral haut , nous a-t-elle confié, sans plus. Alors qu'elle s'était présentée à l'aéroport Félix Houphouët-Boigny de Port-Bouët, le 31 mars 2016, pour effectuer un voyage en France, Marie-Odette Lorougnon, une des figures féminines emblématiques de la tendance Sangaré Abou Drahamane, les Gbagbo ou rien , au Front populaire ivoirien ( Fpi), s'était vu opposer un refus et refoulée par la police de l'air et des frontières.

La présidente de l'Organisation des femmes du Front populaire ivoirien (Offpi) du clan Sangaré a été refoulée, essuyant ainsi une deuxième interdiction de sortir du pays, après celle de janvier 2016, où elle avait tenté, en pure perte, de se rendre à La Haye, en vue d'assister au procès conjoint de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé.

Dans un communiqué, rendu public lundi 4 avril 2016, pour faire baisser la fièvre dans la presse, le parquet près le Tribunal de première instance d'Abidjan, sous la plume du procureur Adou Richard Christophe, a tenu à apporter un certain nombre d'éclairage sur les brouilles de Marie Odette Lorougnon avec la justice ivoirienne (Cf, le communiqué ci-dessous). Aux yeux de l'avocat de Marie-Odette Lorougnon, ce communiqué du procureur Adou Richard appelle des observations. D'où sa réplique, dans le cadre d'une conférence de presse qu'il entend animer incessamment, à Abidjan. ... suite de l'article sur Soir Info

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