Un mouvement populaire sinon une bourrasque souffle dans les lieux Pdci de la commune de Daloa en prélude aux législatives. C'est celui de la volonté des femmes, des Secrétaires de section et des chefs du village relatif à la candidature de Me Kossougro Séry aux législatives.
Ouattara Julienne, présidente de l'Union des femmes de Pdci (Ufpdci) urbaine de Daloa commune et les membres de son bureau ont demandé à Me Kossougro Séry Emile Christophe d'être leur candidat aux élections législatives prochaines pour le compte du Pdci-Rda. C'était le samedi 04 juin 2016 à la salle Henri Konan Bédié de la Maison du Pdci à Daloa. Selon les femmes du parti, Me Kossougro est l'homme qui peut les représenter dignement à l'Assemblée nationale et porter leurs préoccupations devant la Nation, vu ses compétences et son savoir-faire. Puis, par la voix de leur présidente Ouattara Julienne, elles ont souligné avec force que cette candidature est la leur et elles vont se l'approprier que Me Kossougro le veuille ou pas. Quant aux Secrétaires de section au nombre de 33, ils ont, le 1er juin 2016, désigné Bailly Gnolou Anatole, l'un des leurs comme porte-parole pour traduire leur volonté. C'était dans la même salle de la Maison du Pdci. Ceux-ci ont dit que Me Kossougro prouve chaque jour qu'il est bon pour le service. Mieux, il est celui qu'ils désirent comme candidat du Pdci aux prochaines législatives même si la probabilité d'aller en RHDP n'est pas à écarter. Et d'ajouter : Maître, Nous sommes derrière vous et nous allons nous approprier votre candidature . Du côté des chefs des villages rattachés à la commune, c'est Lago Méghué Zéphirin (chef de village de Tazibouo) qui a été leur porte-parole. Celui-ci a demandé à Me Kossougro d'être leur candidat aux législatives et il aura toutes leurs bénédictions. Le samedi 11 juin 2016, Mme Doumbia Kady, présidente de femmes de Tazibouo a dit que si Me Kossougro est candidat, il aura tout le soutien des femmes de son association. Cependant, le concerné n'a pas encore dit un seul mot sur le mouvement populaire qui souffle autour de lui.
M.Ouattara