mardi 14 juin 2016 par Jeune Afrique

La note attribuée aux émissions obligataires à long terme en monnaie étrangère et locale de la Côte d'Ivoire demeure dans la catégorie spéculative, jugée risquée par les investisseurs, du fait de fondamentaux structurels fragiles, comme le PIB par habitant , et des indicateurs financiers et de développement humain encore bien inférieurs aux moyennes des pays de la même catégorie.

Mais cela ne remet pas en cause une croissance supérieure à 8,5% depuis quatre ans et une inflation modérée, a justifié l'agence de notation anglo-américaine dans un communiqué vendredi 10 juin. Celle-ci table sur des niveaux analogues à moyen terme, malgré une érosion progressive d'un effet rattrapage de l'économie ivoirienne et son exposition à des chocs météorologiques . ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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