Je vous demande pardon pour n'avoir pas respecté mes engagements concernant la paie de la dette. J'ai le devoir de régler la dette mais à un rythme selon mes moyens. Laissez-moi du temps, a plaidé le commissaire divisionnaire Jacques Kadjané Amouye, directeur général du Fonds de prévoyance de la police nationale (FPPN). C'était hier, au cours d'une réunion d'échange qui s'est tenue dans les locaux de la Compagnie républicaine de la sécurité (Crs2) entre le Fonds et ses partenaires médicaux. Au centre des échanges, la question du recouvrement des créances médicales constituées par la prise en charge médicale des souscripteurs. J'ai tenu à avoir cette rencontre d'échange afin de renouer les liens avec vous et réitérer mes excuses pour le retard que je prends à régler la dette, a affirmé le commissaire divisionnaire. Soucieux du bien-être des policiers, Jacques Kadjané Amouye a exhorté ses partenaires médicaux à continuer à recevoir les policiers pour leurs différents soins. Il a en outre fait la promesse de verser une partie des créances des agents médicaux. Je vous promets que vous m'entendrez d'ici à la fin du mois, a-t-il certifié.

Vanessa Ako (Stagiaire)