samedi 17 decembre 2016 par RFI

Dimanche 18 décembre, les électeurs ivoiriens choisiront ceux qui les représenteront à l'Assemblée nationale sur les 255 sièges à pourvoir. Un scrutin plus ouvert que jamais, ce qui suscite parfois dans certaines circonscriptions des tensions et quelques violences ou intimidations. Des actes dénoncés sans détours par un groupement d'ONG.

Selon un compte rendu publié par Amnesty international Wanep ou encore l'ONG Rasalao dans certaines circonscriptions de Côte d'Ivoire, les tensions entre candidats sont palpables.

Actes d'intimidations ou menaces verbales le plus souvent et parfois on passe du geste à la parole contre les équipes de campagnes adverse. Ainsi, à Bingerville un candidat RHDP a été empêché de tenir meeting ; à Abobo, des femmes ont été agressées à l'arme blanche par des jeunes après un meeting ; à Daoukro et Adiaké, des QG ont essuyé des tirs ; à Cocody, les militants d'une candidate indépendante ont été blessés à l'arme blanche, affirment ces ONG. ... suite de l'article sur RFI