dimanche 17 juillet 2016 par Jeune Afrique

Les chefs d'État devraient entériner lors du sommet de l'Union africaine le principe d'une taxe de financement qui permettrait à l'institution panafricaine de ne plus reposer sur les aides extérieures.

Historique ! La réaction à chaud de l'ancien président de la Banque africaine de développement (BAD), le Rwandais Donald Kaberuka, en dit long sur l'ambiance des débats qui se sont tenus, samedi 16 juillet soir à l'Hôtel Serena de Kigali, autour d'un sujet épineux : le financement de l'Union africaine (UA).

Kaberuka sortait tout juste d'une présentation sur le financement de l'organisation aux chefs d'État, aux ministres des Affaires étrangères et des Finances du continent, réunis pour le 27e sommet de l'UA dans la capitale rwandaise.

De quoi s'agit-il ? Le mode de financement de l'organisation, actuellement assuré aux trois quarts par des aides extérieures ? les États versent ce qu'ils veulent -, avait avancé significativement évolué lors du sommet de Johannesburg, il y a un an. Les membres avaient entériné le principe d'un financement à 100% par les États, dont 75% pour les programmes de l'UA et 25% pour le fonds Paix et Sécurité. Restait à déterminer comment lever les fonds. ... suite de l'article sur Jeune Afrique

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